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samedi 30 avril 2011

Panasonic accouche d’un Bluray 100Go, le LM-BE100J

La société Panasonic en tient vraiment une couche ou disons qu’elle en tient plut?t trois. Elle vient de dévoiler le premier BDXL réinscriptible qui répond au doux nom de LM-BE100J. Trois couches pour une capacité de 100Go.
Le format de bluray BDXL est le format promis par l’Association du Disque Bluray depuis plus d’un an. A l’époque, il était déjà question d’une capacité de 128Go pour un quadruple couche non réinscriptible et de 100Go pour un triple couche réinscriptible. Une bonne et une mauvaise nouvelles accompagnent cette première. Commen?ons par la bonne nouvelle.
Sur un BDXL 100Go, vous pourrez graver 8 heures et 40 minutes de vidéo en 1080p avec un framerate de 24Mbps. Seconde bonne nouvelle, ces BR d’un genre nouveau sont plus résistants aux rayures.
Mais la mauvaise nouvelle, c’est que les lecteurs du marché ne seront pas à même de les lire. Un des premiers modèles à pouvoir les lire et de les graver est le Pioneer BDR-206MBK. Mais il existe déjà d’autres modèles proposés par d’autres constructeurs.
Le BDXL Panasonic sera commercialisé au Japon le 15 avril pour 84€.

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samedi 23 avril 2011

Appels qualité HD sur réseau historique réalisé par Ericsson

La société suédoise Ericsson vient de réaliser le premier appel en qualité HD sur un réseau CDMA. Pour ce faire, elle utilise un codec à bitrate variable permettant de s’affranchir du débit limité offert par le CDMA.
Le CDMA est l’acronyme décrivant la transmission d’un signal modulé étalé sur le spectre autour d’une seule porteuse grace à une répartition par code. Mais c’est aussi le nom du premier réseau à utiliser cette technique. Et si des appels qualité HD sont déjà proposés sur des réseaux à haut débit (Orange propose bien ce service via le réseau 3G), c’est la première fois qu’il est proposé sur un réseau à faible débit.
Le CDMA cohabite aux Etats-Unis avec le GSM (Verizon ne dispose pas de réseau GSM mais d’un réseau CDMA d’où l’iPhone 4 version CDMA), en Asie (Chine) et dans certains pays africains.
La qualité de la transmission se trouve améliorée avec un spectre vocal allant de 50Hz à 7kHz.
C’est le codec EVRC-NW 3GPP2 d’Ericsson qui permet cette prouesse.
La qualité HD pour les appels apporte beaucoup de confort et il s’agit d’un véritable progrès. Son arrivée sur les réseaux CDMA et éventuellement GSM (avec une compatibilité sur tous les terminaux actuels) serait vraiment très appréciable.

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samedi 16 avril 2011

Séisme - des jeunes Haïtiens témoignent caméra au poing

Lesly Décembre se tient dans un parc de Jacmel, devant un camp improvisé pour rescapés du tremblement de terre. Un micro à la main, face caméra, cet Ha?tien d’une vingtaine d’années décrit la détresse des centaines de familles qui s’y entassent depuis le séisme. ? Ils vivent sous des tentes et des draps dans des conditions très difficiles et attendent les premiers secours et l’aide du reste du monde. ?
Vadim Janvier, elle, n’appara?t pas à l’écran. Mais d’une voix-off timide, elle lance le même appel à l’aide dans son reportage ? Les Handicaps ? qui montre sans détour les blessures des victimes du tremblement de terre. ? Les quelques médecins présents à l’h?pital Saint-Michel n’ont pas eu assez de pansements et de medicaments pour subvenir à leurs besoins ? dit-elle.
Voir la vidéo de Vadim
Lesly et Vadim sont étudiants au Ciné-Institute de Jacmel, une école de cinéma – la seule en Ha?ti – créée en 2006 pour favoriser l’éclosion d’un tissu de production cinématographique local. Au total, ils seraient une vingtaine d’apprentis réalisateurs à arpenter les rues de Jacmel caméra au poing et un tee-shirt ? Ciné-Institute ? sur le dos pour partager avec le monde entier les images de leur ville, longtemps oubliée par les medias et l’aide internationale. A Jacmel, cité portuaire de 40 000 personnes considérée comme la capitale culturelle et artistique d’Ha?ti, le séisme et ses répliques ont été aussi destructeurs qu’à Port-au-Prince.
? Deux jours après le séisme, j’ai commencé à recevoir des sujets de deux minutes montés par les élèves. Les images montraient l’étendue des dégats, des gens cherchant à extraire d’autres personnes des décombres, les sans-abri, etc. ?, précise Elana Salcer qui réceptionne les sujets à New York, dans les locaux de Crowing Rooster, la bo?te de production partenaire du Ciné-Institute. ? J’ai vu beaucoup d’images tragiques sortir d’Ha?ti ces dernières années, mais cette fois-ci, être plongée dans une catastrophe qui évolue de minute en minute rend la situation encore plus émouvante. ?
Si le Ciné-Institute est en ruines, les étudiants, qui travaillaient sur des projets à l’extérieur du batiment au moment du séisme, s’en sont tous sortis indemnes. Un miracle. Pour eux, malgré la perte de proches, le besoin de témoigner a vite pris le dessus. Galvanisés par le staff de l’école sur place, ceux qui avaient déjà des caméras entre les mains sont partis en reportage.
D’autres ont déterré six cameras des décombres de l’école. Des ordinateurs et des tables de montage sont installés dans les locaux de la MINUSTAH, la mission des Nations-unies sur place, d’où nos reporters en herbe montent et envoient leurs sujets à New York, où ils sont remontés et traduits par des volontaires avant d’être postés sur le site de l’école http://www.cineinstitute.com/news/. ? C’est choquant de voir les images qui arrivent, avoue Pamela Ralat, monteuse volontaire. Parfois, assise devant l’écran, je me sens très triste. ?
Outre le camp de rescapés de Lesly et les handicapés de Vadim, Fritzer raconte, lui, les premières minutes après le séisme, Manasse enregistre une prière, Keziah filme elle l’arrivée des premiers secours, tandis qu’un autre étudiant suit une séance de médecine holistique. Au total, une vingtaine de mini-vidéos sont déjà en ligne.
Voir la vidéo Holistic Doctor
? C’est une information différente de celle qui sort de CNN. Ces histoires ne sont pas manipulées, affirme Sak Constanzo, l’autre monteuse volontaire de service mercredi dernier. Le seul objectif de ces jeunes est de dire ce qu’il se passe. ? CNN fait partie des grands networks qui se sont précipités sur les images pour les diffuser.
Sur place, les étudiants continueront à filmer et à monter tant que le générateur qui alimente leurs ordinateurs fonctionnera. ? Nos étudiants ont une perspective personnelle et unique sur ce qui se passe, précise Andrew Bigosinski sur le site de l’école. Le directeur du Ciné-Institute supervise le montage des sujets à Jacmel. Les encouragements de tous nos supporters nous motivent malgré le sentiment de perte qui nous entoure. ?

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dimanche 10 avril 2011

Le navire « 93 » prend l’eau

Claude Bartolone a l’aisance et l’assurance d’un capitaine au long cours. A la barre d’un navire qui subit les assauts du mauvais temps, il joue avec les éléments et toutes les variables qui peuvent lui permettre de voir plus loin. ? Produit labellisé ? 93, il a quitté la Tunisie à 9 ans. Ses parents, sicilien et maltais, se sont installés au Pré-Saint-Gervais, ville dans laquelle il débute sa carrière politique et rencontre un jour de 1978, Fran?ois Mitterand, auprès duquel il s’engage.
De colleur d’affiche pour Mitterrand, à conseiller général, député, ? timonier ? du 93, en passant par ministre de la ville sous Jospin, Bartolone a franchi la plupart des caps. Mais à bient?t 60 ans ses aspirations sont probablement ailleurs. Premier président socialiste du Conseil général, en fonction depuis près de deux ans, il dénonce, s’insurge et se révolte face à une politique, à tribord, qui selon lui, emmène son navire à l’échouage.
Surendetté, entre les emprunts toxiques contractés et la suppression de la taxe professionnelle, le ? département est au bord de la crise de nerf ?, affirme-t-il face au Club de la presse ESJ/Bondy-Bondy Blog, jeudi 25 mars, réuni dans la brasserie Le Murat, à Bondy. L’Etat quant à lui, est dans le r?le du mauvais payeur. Il doit plus de 640 millions d’euros au Conseil général, ? nous engageons des dépenses au nom de l’Etat dans le cadre de la solidarité (RMI-RSA, allocation compensatrice pour les personnes handicapées…) et l’Etat nous rembourse toujours moins, nous serons obligés de diminuer les services publics locaux ?.
Tel un père de famille expliquant au cadet qu’il devra attendre pour avoir ses nouvelles chaussures, Bartolone justifie les coupes budgétaires faites dans les dépenses non obligatoires : culture, sport, développement économique…et finit par reconna?tre que ? réussir en Seine-Saint-Denis, c’est la quitter ?. Les femmes et les enfants d’abord, et puis tous les abstentionnistes… Le désamour scellé entre la population et le politique, qui s’est traduit lors des dernières élections trouve son origine, selon Bartolone, dans les différentes échelles temps, celle de la politique et celle de ? l’urgence de la situation ?. ? Sept à dix ans sont nécessaires pour la construction d’un lycée, douze ans pour améliorer une ligne de métro… ?. Alors oui, ? le quotidien est sacrifié ?, celui des professeurs et des policiers qui réclament plus de postes, celui des habitants de Clichy sous Bois et de Montfermeil qui n’ont toujours pas leur tramway promis…
Si les maux sont clairement identifiés, la thérapie va à tatons. Le département séduit de plus en plus d’entreprises, la rareté et le prix de l’immobilier sur les zones traditionnelles (la Défense et Paris centre), justifient l’engouement du privé pour Saint Denis, Pantin, Montreuil, Aubervilliers… Dans ces cas, Bartolone prend sa casquette de commercial et démarche, n’hésite pas à obtenir des fonds privés pour améliorer ce qui relève de la gestion du département, à l’instar du partenariat signé avec la BNP. Mais les engagements sur l’embauche manquent, et ne suffisent pas à endiguer le taux de ch?mage qui dépasse les 20%, chez les jeunes du département.
Mais ? autant j’ai cru à la reprise économique, au moment de mon élection à la tête du département, que maintenant… ?, le navire prend l’eau. Ecoper est devenu impossible selon Bartolone, notamment à cause de ? cette foutue réforme territoriale ?, qui doit, notamment, augmenter les prérogatives de l’Etat en matière budgétaire sur les départements. Alors que faire ? ? Démissionner ?, l’idée ne semble pas l’effleurer, ses intérêts sont probablement ailleurs, à babord, pas dans un estuaire mais plut?t un cap, d’autant plus que le département reste médiatiquement le plus exposé de France.

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dimanche 3 avril 2011

Derniers jours pour « Halal Police d’Etat »

Les films fran?ais ne m’intéressent guère en général. ??Halal police d’état??, de Rachid Dhibou, avec le duo Eric et Ramzy, n’avait a priori rien d’engageant. Humour à deux sous, grosses vannes faciles, scénario affligeant. Voilà à quoi je m’attendais. Je suis entrée dans la salle avec un tas d’appréhensions et de préjugés (eh oui, ?a arrive à tout le monde) sur ce film. L’histoire se déroule entre la France et l’Algérie. Au départ, la police parisienne fait face à des meurtres à répétition ciblant les épiciers arabes de Paris. L’enquête commence et avance, jusqu’au jour où une diplomate algérienne est portée disparue après être entrée dans l’une de ces épiceries.
Algérie, maintenant, où l’on fait la connaissance de l’inspecteur Nerh-Nerh (la menthe), joué par Ramzy, et de son compère Qba?li (le Kabyle), interprété par Eric. Ces deux grands amis de toujours vont rejoindre la France pour enquêter avec la police fran?aise. A leur arrivée, leur accent (l’un en a, l’autre non, à cause de la venue d’un extraterrestre), leurs dégaines et leurs excentricités font rire le public. Dans la salle, il y a des tous petits et des très grands, je ne dirais pas de 7 à 77ans mais presque. Il y a des couples, des groupes de jeunes, des amis(es), des familles, bref un peu de tout. Cette comédie burlesque fait rire légèrement, le scénario est léger mais après tout, le cinéma est fait, aussi, pour divertir, non ?
L’extravagance atteint son summum, lorsqu’un aliène descend sur Terre et repart dans sa soucoupe volante. Le spectateur a le droit à tout : une secte chrétienne porteuse de clichés ethno-raciaux en mal d’être et avide de territoires pour construire des églises, une espèce de réceptionniste-gérant d’h?tel qui s’invente des vies, aux allures de bon petit bougre mais qui est en réalité machiavélique, des vannes interraciales entre Chinois, Arabes et Noirs. ?a donne : les Arabes puent, ouais mais moins que les Noirs, les Chintoks mangent que des nems, des chats et du singe. Ok, d’accord, on passe…
Le film m’a bien plus, il faut l’admettre, surtout les passages aux délires typiquement maghrébins, dans lesquels j’aime m’immerger. C’est un bon moment pour qui veut rigoler légèrement, mais il faut au préalable manier le patois maghrébin pour comprendre certaines vannes ! Tout n’est pas sous-titré, et c’est dommage pour les autres qui rient cinq minutes après qu’on leur a traduit ce qui vient d’être dit. Plus de sous-titrages donc pour le prochain volet, s’l y en a un ! Car, oui (et puis zut, désolée de casser le suspense) bien que les ??méchants?? se fassent arrêter et que ??tout aille bien dans le meilleur des mondes??, on n’entend plus parler de cette fameuse diplomate algérienne disparue dans une épicerie, qui était pourtant la raison de la venue de l’inspecteur Nerh-Nerh et de Qba?li ! Alors, alors ? Ils l’ont oubliée en route, la diplomate ? Ou, elle aussi, a-t-elle disparu aussi subitement que l’agneau du déjeuner ?

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